• Idées partagées

    Dans cette rubrique:

    - des idées partagées par vous, lecteurs et participants aux stages Ho'oponopono, un chemin vers la conscience.

    et

    - des textes, musiques et autres outils que nous avons aimé et souhaitons partager:

     

    - Les 4 principes de la spiritualité indienne

    - Les secrets sont simples (Extrait de la Genèse de Surhomme de Satprem)

    - J'ai un problème, comment faire pour le résoudre?

    - Des musiques pleines d'amour.

    - On peut faire Ho'oponopono...le jour et la nuit

     

  • Vous connaissez déjà peut être la musique qui a fait le tour du monde grâce à plusieurs vidéos.

    Le fond est un morceau de musique de l'album "Ho'oponopono Song" de Aman Ryusuke Seto et il est disponible sur Amazon.

    Nous aimons aussi deux autres chansons que vous pouvez télécharger gratuitement dans le site de Michael Roads France.

    Les titres sont très simples: I love me et I love you. Tout est dit!

    Un grand merci  Nanne Kalma et Ankle Van der Meer d'avoir crée cette musique et à Michael Roads de l'avoir partagé de façon si généreuse grâce à son site. Voici le lien pour le téléchargement:

    Télécharger la musique: I Love me et I love you

    http://michaelroadsenfrancais.com/a-telecharger/

    Vous pouvez aussi écouter un audio de Michael Roads où il nous parle de comment c'est si important de s'aimer et de cesser de se critiquer. A écouter ici.

    http://michaelroadsenfrancais.com/conclusion-seminaire-2010-france/

    D'autres musiques:


     

     


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  •  

    Nous entendons souvent parler de Ho'oponopono comme une méthode de résolution de problèmes. 

    Et c'est quoi le secret de cette méthode? 

    Son secret est qu'elle nous invite à lâcher.

    Autres vidéos

    Elle nous invite à cesser de chercher une solution à travers une réflexion (notre mental) et à faire confiance à cette autre partie de nous (notre âme ou notre moi-supérieur)pour nous aider à sortir de cet enfermement.

    Lors des stages Ho’oponopono, nous abordons aussi cette merveilleuse méthode de lâcher prise de Lester Levenson. C’est d’elle qui vient l’exemple suivant :


    Sortir du cercle vicieux d’un problème

    Il fait comprendre que bien souvent, quand nous rencontrons un problème, si nous ne trouvons pas de solution rapidement, nous rentrons dans un cercle vicieux, où, une chose entraînant l'autre nous conduit à nous enfoncer de plus en plus. Voici les étapes :

    1. Nous avons le problème

    2. Nous nous sentons en insécurité

    3. Nous essayons de le résoudre

    4. Nous voulons savoir comment faire

    5. Nous cherchons une réponse ou solutions

    6. Nous cherchons sans arrêt (le mental tourne et tourne à fond)

    7. Nous nous désapprouvons de ne pas trouver

    8. Nous maltraitons de plus en plus

    9. Nous nous accrochons de plus en plus au problème et nous ne voyons que cela.

     

    Il faut rompre la chaine pour pouvoir sortir de ce cercle.

    Nous pouvons nous poser ainsi quelques questions :

    Est-ce que je peux oublier ou lâcher le désir de vouloir le résoudre ?

    Est-ce que je peux oublier ou lâcher le désir de vouloir savoir quoi faire ?

    Est-ce que je peux oublier ou lâcher le désir de vouloir savoir comment faire?

    Est-ce que je peux cesser de chercher la solution?

    Est-ce que je peux cesser de me désapprouver ?

    Est-ce que je peux m’accepter et accepter ce qui est ?

    Est-ce que je peux me donner de l’amour?     Autres vidéos

    Et une fois la chaine rompue, une fois que nous avons lâché prise, des idées vont venir, qui ne seront pas alimentées par notre mental (qui cherche toujours dans la cave à mémoires), mais ce seront des idées toutes neuves venues de notre partie divine.

     Merci, je t’aime. Merci, je t’aime. Merci, je t’aime...

    Ce sont ces deux mots magiques qui peuvent dissoudre cette crispation dans laquelle nous nous sommes figés.

    Ou bien,  je peux tirer une carte, car si vous possédez le jeu de cartes Ho'oponopono, c'est une façon de l'utiliser.

    Voyons, c’est laquelle ?

    J’accepte, tout est parfait!

    Ou...Ce n'est qu'une mémoire, je décide de nettoyer!

    Ou.... Je lâche toute attente, et…j’accueille l’inspiration.

    Peu importe la carte tirée qui est comme une porte d'entrée dans Ho'oponopono, l'important est de lâcher prise et, dans cet espace vide:

    "accueillir l'inspiration".

    ...Bon nettoyage!

    In lakesh

    Maria Elisa   le 17/1/2011


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  • Ce texte nous a été transmis par P. qui a participé au stage de Paris fin 2010

    Satprem- La Genèse Du Surhomme

    "La saison de Vérité" Extrait-de la Genèse Du Surhomme

    Les secrets sont simples, nous l'avons dit, et nous nous demandons si cette "difficile" transmutation, cette alchimie compliquée et ces épais grimoires et ces mystérieuses initiations, ces austérités savantes et ces gymnastiques spirituelles, ces méditations et ces retraites et ces souffles torturés et tout ce labeur de l'esprit, ne sont pas en fait le labeur du mental qui veut que ce soit difficile, infiniment difficile, afin de se gonfler encore et d'avoir la gloire de dénouer un formidable noeud qu'il avait lui-même noué ?

    Si c'est trop simple, il n'y croit pas, parce qu'il n'a rien à faire - parce qu'il veut faire, à tout prix, c'est sa nourriture et son gagne-pain, son gagne-ego.

    Mais cette enflure et cette boursouflure mentales nous voilent peut-être une infinie simplicité, une suprême facilité, un suprême non-faire qui est l'art de tout faire. Nous avons dû faire et refaire, et bourlinguer sur les voies du mental pour individualiser une parcelle de cette formidable, immense Conscience-Force, cette Energie-Harmonie universelle, pour lui donner conscience d'elle-même, en quelque sorte, dans une forme et sous des miliards de formes, mais au bout du long périple de la petite flamme, le temps ne vient-il pas de faire craquer le moule qui nous avait aidé à grandir, et de retrouver, dans un petit centre d'être, un petit point de matière, dans une petite note claire, la totalité de la Conscience et de l'Energie et de l'Harmonie, et de laisser Ça faire et Ça changer nos yeux, et Ça imprègner nos tissus, et Ça élargir notre substance - de laisser jouer un suprême Enfant en nous qui court par les grandes prairies du monde et qui ne demande qu'à jouer avec nous et pour nous, si nous voulons, parce qu'il est nous.

    Cette difficile transmutation n'est peut-être pas si difficile, après tout, elle doit être simple comme la vérité, simple comme le sourire, simple comme l'enfant qui joue.

    Il s'agit peut-être seulement de savoir si nous voulons prendre le parti de la difficulté - le parti du mental qui se gonfle désespérément pour tenter de s'élargir à la taille de l'univers, le parti du "mais"et du "pourquoi" et du "comment" et toutes les lois implacables qui nous étranglent et nous étranglent dans notre camisole de de force mentale -, ou le parti d'un je ne sais quoi qui glisse dans l'air, qui pétille dans l'air, qui cligne de l'oeil à tous les coins et sous toutes les rencontres, toutes les choses, toutes les vétilles de la banalité du jour, comme pour nous entraîner dans un indiscible sillage d'or où tout est simple et miraculeux - nous sommes en plein dans le miracle !

    Nous sommes en pleine saison supramentale, elle cogne à toutes nos vitres closes, dans nos pays, dans nos coeurs, dans nos systèmes qui s'écroulent, nos lois qui branlent, nos sagesses trébuchantes, dans nos milliers de maux qui sortent et qui sortent, nos milliers de petits mensonges qui quittent la barque en détresse -, elle glisse doucement sa barque d'or sous les vieilles apparences spécieuses, elle pousse ses bourgeons inattendus sous la vieille loque, elle attend une toute petite faille là-dedans pour jaillir, un tout petit cri d'appel.

    La transmutation n'est pas difficile, elle est toute là, elle est toute faite, elle attend que nous ouvrions notre regard à l'irréalité de la misère, à l'irréalité du mensonge, à l'irréalité de la mort, à l'irréalité de notre impuissance - à l'irréalité du mental et des lois du mental. Elle attend notre saltus radical dans cet avenir de vérité, notre rébellion en masse contre la vieille cage, notre grève de la Mécanique.

    Ah ! laissons aux aînés du vieux monde, aux vieux croyants de la misère et de la souffrance et de la bombe et de l'évangile et des millions d'évangiles qui se disputent le monde, le soin de faire tourner encore quelques jours leur vieille machine grinçante, de disputer des frontières, disputer des réformes de la pourriture, disputer des accords du désaccord, d'empiler des bombes, empiler des faux savoirs, empiler des bibliothèques et des musées, de prêcher l'ennemi, la patrie et la non-patrie, de fabriquer, fabriquer des machines et des super-machines et des fusées pour la lune et des misères pour toutes les bourses - laissons-leur les derniers soubresauts du mensonge, les derniers cris de la pourriture, nous qui nous moquons des patries, moquons des frontières, moquons des machines et de tout cet avenir d'emmurés, nous qui croyons en quelque chose d'indiscible et de léger qui cogne aux portes du monde, qui cogne dans nos coeurs, en un avenir tout neuf, tout clair, tout vibrant et merveilleux, sans frontières, sans lois, sans évangiles, par-delà toutes leurs possibilités et leurs impossibilités, leurs biens et leurs maux, leurs petits pays et leurs petites pensées - nous qui croyons en la Vérité, la suprême beauté de la Vérité, la suprême joie de la Vérité, le suprême pouvoir de la Vérité.

    Nous sommes les fils d'un Avenir plus merveilleux qui est déjà là, et par notre cri de confiance, il jaillira de nos yeux, balayant toute cette vieille mécanique comme un rêve irréel, un cauchemar du mental, une vieille outre qui n'a pas plus d'air que celui que nous voulons encore lui prêter.

    La transmutation est à faire dans nos coeurs, la dernière révolution à accomplir : la révolution supramentale de l'espèce humaine - comme d'autres avaient fait la révolution humaine parmi les singes -, sa grande révolte contre la Mécanique, sa grande grève du savoir mental et du pouvoir mental et des fabrications mentales - de la prison mentale -, sa défection en foule du vieil engrenage de la douleur, de son cri d'appel à ce qui doit être, son simple cri de vérité dans les décombres de l'âge mental : la vérité, la vérité, la vérité, et rien que la vérité.

    Alors la Vérité sera.

    Parce qu'elle est simple comme un enfant et qu'elle répond au moindre appel.

    Et elle fera tout pour nous."

    la Genèse du surhomme, extrait de " la saison de la Vérité" pages 250 à 254 de SATPREM

    Pondichéry le 20 août-13 novembre 1970


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  • Lettre d'un artisan de Lumière reçue le 3 juillet 2011, le jour du milieu de la période de la co-création du calendrier Maya d'après les calculs de Calleman.

    Ce même jour il y a eu un rassemblement pour la paix à Jerusalem :  http://www.jerusalemhug.org/

     

    Téléchargement: Lettre avec la prière pour la Terre

     Extrait de la lettre, avec la prière:

     

    Tous les jours à chaque changement d'heure, pendant 5 minutes, je vous invite à envoyer de l'amour inconditionnel à toute la Planète et tous ses habitants sans distinction et reciter cette prière à haute voix ou silence comme vous le désirez.

    Vous pouvez le faire 1 fois par jour ou plus comme vous le ressentez.

     

    " Terre mère je te remercie de m'accepter tel que je suis,

    Je te demande de me pardonner,

    Reçoit tout mon amour dans ton ascension,

    Je suis avec toi,  je t'aime " 

     

     

     


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  •  


    Un des plus beaux cadeaux que nous pouvons faire aux autres consiste à les libérer de nos préjugés et nos idées préconçues par rapport à eux.

    Nous avons tendance à poser des étiquettes sur tout, à tirer des conclusions sur chaque expérience et des jugements sur chaque personne que nous rencontrons. Cela fait partie de ces vieilles habitudes que nous faisons sans même nous en rendre compte.

    Et ces idées fixes deviennent des prisons dans lesquelles nous risquons de les enfermer.

    En libérant les autres de ces étiquettes, nous nous donnons ainsi l’opportunité de les découvrir comme si c’était la première fois et nous leurs donnons ainsi la possibilité de renaître dans notre regard.

    Quel beau cadeau, n’est pas ?

    Voici un petit exercice pour nous entraîner à cet art que nous pourrions appeler :


    « Changer les filtres»

    Changer les filtres


    Nous allons penser à une personne de notre entourage et nous pouvons nous poser la question suivante :

    « Si je devais faire une caricature, quel serait le trait de caractère que je ferais ressortir, ou encore mieux, qu’est-ce qui me dérange le plus dans cette personne ? 

    Ensuite, nous pouvons prendre une feuille et un crayon à papier et l’écrire.

    Une fois que vous avez noté, nous allons aborder cette pensée avec différentes approches :


    1) Avec des question basées sur « le Travail » de Byron Katie :


    Est-ce vrai ? (Fermez les yeux et laissez venir la réponse)

    Est-ce que je suis sur à 100% que c’est vrai ? (Idem, fermez les yeux et…)

    Qu’est-ce que je ressens quand je garde cette pensée ? (Idem)

    Qui serais-je sans cette pensée ? (Idem)

     

    2) Avec des questions basées sur la méthode de Lester Levenson :
     

    Est-ce que je pourrais changer cette idée ? (Répondez seulement par oui ou non)

    Est-ce que je suis d’accord pour la changer ? (Idem)

    Si oui, quand ?

    Le seul moment qui compte est le moment présent, c’est le seul moment où je peux réaliser un changement.

     

    3) Avec Ho’oponopono.

    Ho'oponopono nous dit que le monde extérieur n’est que le reflet de nos pensées, et ces pensées sont conditionnées par nos mémoires. Si je libère ces mémoires et je corrige mes pensées, la réalité que je perçois change.

    Ho’oponopono nous rappelle que nous sommes 100 % responsables de nos pensées et, par conséquent, de la réalité qu’elles manifestent.

    Voici une phrase possible pour déclencher le nettoyage :

    « Je suis désolé, je ne sais pas quelle mémoire en moi m’a conduit à porter ce regard sur toi. Je demande pardon et je me pardonne Je te remercie parce que grâce à toi je peux aujourd’hui la libérer. Je t’aime, je m’aime et je nous aime. »

    Je confie ainsi le nettoyage de cette mémoire à mon âme ou mon moi supérieur. Et ensuite, rien d’autre à faire ni à attendre. Juste accueillir la paix qui s’installe.

    Il nous invite à redevenir enfant et à retrouver le regard pur d’un enfant.

     

    4) Et si, malgré tout ça, nous avons toujours cette même idée par rapport à la personne, il nous reste encore une solution :

    Prendre une bonne gomme et effacer les mots que nous avions écrits au crayon à papier.

    Faire une longue promenade en compagnie du chien d’Obélix, histoire de se changer les idées…

     

    Au fait, comment s’appelle-t-il le chien d’Obelix ? Je perds de plus en plus la mémoire…

     

     


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  •  

    Premier principe
    - Quelle que soit la personne que nous rencontrons, c'est la bonne personne.

    Second principe
    - Quoi qu'il nous arrive, c'est la seule chose qui peut arriver.

    Troisième principe
    - Chaque moment est le bon moment.

    Quatrième principe
    - Ce qui est terminé, est terminé.

     


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  •  A tous ceux et celles qui ont croisé mon chemin ou

    fait un bout de chemin avec moi.

    A ceux qui m’ont appris sans jamais les rencontrer.

    Aujourd’hui,  je souhaite exprimer

    ce qui me semble essentiel

    à l’heure de ce changement de conscience.

     

    Merci pour  ce  que tu as été.

    Merci pour ce que tu es.

    Merci pour ce que tu seras.

     

    Pardon pour ce que je n’ai pas dit.

    Pardon  pour ce que je n’ai pas fait.

    Pardon pour ce que j’ai  dit.

    Pardon pour ce que j’ai fait.

     

    TOUT  est cadeau dans la vie,  même  les choses difficiles à vivre.

    Tout ce qui nous fait souffrir est un appel à l’amour.

    Cet appel  vient de cette « Chose » insondable, mystérieuse,

    sans forme, Invisible  qui vibre en chacun de nous.

    Elle vient frapper à travers le corps pour nous dire :

    «Toc,toc,toc…. attention !...  

    Ta pensée du moment  n’est pas de l’amour envers toi. 

    Rien,  ni personne n’est contre nous,  sauf nous-même.

    La paix ne viendra jamais de l’extérieur,

    mais d’un apprentissage à s’aimer soi- même.

    Les émotions viennent toujours d’un passé qui n’existe plus.

    Je sais maintenant, avec certitude 

    que l’autre est une autre facette de moi - même

    «un miroir aux millions de facettes » autant dans la dépréciation,

    que dans l’appréciation. 

    « Rien existe au dehors, tout existe en pensées dans l’esprit. »

    C’est bon de donner un sens à la Vie .

     

    Eliane Boucry


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