•  Une parabole pour enfants

    Adaptée de « Conversations avec Dieu »

    À mes futurs petits enfants,

    s’il devait y en avoir,

    et à chaque Petite Âme          

    attendant de naître.

    La petite Âme et le Soleil  

    Vous êtes notre bénédiction,

    et notre espoir,

    notre innocence

    et notre joie,

    notre promesse

    et notre preuve

    de l’amour infini de Dieu.

    À la Lumière Éblouissante

     

    Il était une fois, au temps d’avant le temps,
    une Petite Âme qui dit à Dieu : « Je sais qui je suis ! »
    Et Dieu dit : « C’est merveilleux ! Qui es-tu ? »
    Et la Petite Âme cria : « Je suis la Lumière ! »
    Dieu sourit d’un grand sourire. « Oui, c’est ça ! » s’exclama-t-il.
    « Tu es la Lumière. »

     Lire la suite:   http://www.lespasseurs.com/La_petite_Ame_et_le_Soleil.htm

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  • La pierre précieuse

    Une homme d’une grande spiritualité, un Sannyasin, approchait de la périphérie d’un village en Inde…

    Il s’installa pour la nuit sous un grand arbre quand, soudain, un villageois cria en courant vers lui :

    - La pierre ! La pierre ! Donnez-moi la pierre précieuse !

    - Quelle pierre ? demanda le Sannyasin

    - La nuit dernière, le seigneur Shiva m’est apparu en rêve, dit le villageois, et me dit que si j’allais à la périphérie du village à la tombée de la nuit, je trouverais un Sannyasin qui me donnerait une pierre précieuse. Cette pierre me rendrait riche pour le restant de ma vie…

    - La Sannyasin fouilla dans son sac et en sortit une pierre :

    - Il voulait probablement dire celle-ci, dit-il en tendant la pierre au villageois. Je l’ai trouvée dans un sentier de la forêt, il y  quelques jours. Tenez, je vous la donne…, dit le Sannyasin, en toute simplicité.

    Le villageois regarda la pierre précieuse avec émerveillement : c’était probablement le plus gros diamant du monde. Il prit le diamant et s’éloigna rapidement.

    Toute la nuit, il se retourna dans son lit, incapable de dormir.

    Le lendemain, dès l’aube, il éveilla le Sannyasin et lui demanda :

    "Donnez-moi plutôt la richesse intérieure qui vous permet de donner ce diamant avec autant de détachement."

     


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  • Un jour le disciple discutait avec son maître sur les aspects de l’éveil et de ceux qui arrivent à l’atteindre…

    Ils discutèrent pendant des heures…

    A la fin, le disciple demanda au maître :

    « Mais, comment est-t-il possible qu’un être humain éveillé puisse rester si calme malgré les terribles tragédies que l’humanité est en train de traverser ? »

    Le maître pris les mains du disciple entre les siennes et lui expliqua :

    - «Imagine que tu es en train de dormir. Et dans ton sommeil, tu rêves que tu es sur un bateau avec d’autres passagers. Tout d’un coup, le bateau échoue et commence à couler. Pris par l’angoisse, tu te réveilles…»

    Ma question est la suivante :

    « Es-ce que tu te dépêches de t’endormir pour prévenir les passagers de ton rêve ? »

     

    Discussions sur l'Eveil

     


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  • Voici une histoire racontée par Arun Gandhi (petit fils de Mahatma Gandhi) dans le discours d’ouverture d’un congrès à Orlando en 1996

     Il y a bien des siècles vivait un grand roi qui désirait connaître les mystères de la vie. Il se rendit chez un sage et le pria de les lui révéler. Le sage alla dans une chambre au fonds de sa maison et en revint avec un unique grain de blé, qu’il tendit au roi sans un mot. Pensant qu’il se moquait de lui, le roi s’offusqua. Il prit le grain de blé, tourna les talons et regagna son palais.

    Le roi était déconcerté, il ne savait que faire de ce grain de blé. Etait-ce là le mystère de la vie - ou pas ? Incertain de la vrai nature de ce qu’il avait, mais en même temps convaincu que cela ne devait pas être simplement jeté, il fit confectionner une boîte en or dans laquelle il déposa le grain de blé. Tous les quelques jours, le roi regardait le grain de blé dans la boîte, mais rien ne se passait.

    Le mystère de la Vie"

    Il se sentait très frustré, contrarié et déçu, jusqu’à ce qu’il rencontre un Indien fort avisé qui lui expliqua tout ce qui s’était passé avec le grain de blé et la boîte.

    Le roi demanda à cet homme de l’instruire du mystère de la vie, pour s’entendre dire à nouveau que « c’était la mystère de la vie ».

    « A moins, continua l’homme sage, que ce grain de blé soit mis dans l’environnement qui lui convient, de sorte qu’il soit en contact avec les différents éléments de sa vie, il ne peut germer, ni croître, ni produire…Il ne se passera rien. Si vous conservez dans cette boîte, ce sera un grain de blé mort, il ne donnera rien ».

     

    Extrait du livre : « Se reconnecter à la magie de la Vie » de Joyce C. Mills. Le courrier du livre.

     

    Si nous enfermons les enseignements et ce que nous étudions dans les livres, juste pour les lire de temps en temps, ils ne serviront à rien.

    Mais si nous les mettons en pratique dans notre vie de tous les jours, ces grains de blé auront la possibilité de pousser et de porter des fruits.

     

     Le mystère de la Vie"

     

     

     

     


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  •  

    « Il était une fois une vieille Chinoise très pauvre qui habitait une petite maison.

    Son mari avait creusé un puits près de cette maison mais un jour son mari mourut et le puits s'assécha.

    Depuis lors, elle devait aller chercher de l'eau à un ruisseau assez éloigné.

    Pour transporter cette eau dont elle avait besoin tous les jours, elle avait acheté deux grands pots.

    Elle les suspendait chacun à l'un des deux bouts d'une perche qu'elle portait appuyée derrière son cou. Mais l'un des deux pots qu'elle avait achetés était fêlé. L'autre était en parfait état et il était bien plein quand elle était de retour dans sa maison. Par contre, le pot fêlé, lui, à la fin de la longue marche de retour du ruisseau jusqu'à la maison, était à moitié vide.

    La pauvre Chinoise ne ramenait donc chez elle qu'un pot et demi d'eau.

    Or, voyez-vous, en Chine, les pots pensent.

    Oui, dans leur panse, ils pensent.

     Le pot qui n'était pas fêlé était très fier de lui, de ce merveilleux travail qu'il accomplissait.

    Et il se moquait de l'autre pot, il lui disait : un jour elle va te jeter dans le fossé et en acheter un autre.

    Cette femme était pauvre, mais c'est vrai qu'elle aurait pu tout de même s'acheter un autre pot.

    Le pot fêlé avait honte de son défaut. Il aurait bien voulu ramener autant d'eau que l'autre.

    Et il avait très peur d'être jeté.

    Pourtant la vielle Chinoise ne semblait pas y faire attention.

    Jamais elle ne parlait de le jeter.

    Elle continuait chaque jour à aller chercher son eau, en suivant toujours le même chemin.

    Elle portait toujours les deux pots de la même façon : le pot fêlé à sa gauche, le pot intact à sa droite.

    Au bout de deux ans, alors qu'elle était au bord du ruisseau et prenait le pot fêlé pour le remplir, ce dernier dit à la vieille Chinoise :

    « J'ai honte de moi ! J'ai honte parce que par ma fêlure, la moitié de mon eau s'échappe le long du chemin pendant que tu reviens à la maison. Je te suis bien moins utile que l'autre ! Pourquoi ne dis-tu jamais rien ? Pourquoi ne m'as-tu pas jeté ? »

    Alors  la vieille Chinoise sourit et dit au pot fêlé : « J'ai toujours su que tu étais fêlé et que tu perdais de l'eau sur le côté gauche du chemin pendant le retour. Alors j'ai semé des fleurs de ce côté-là et chaque jour tu les as arrosées. N'as-tu pas remarqué qu'il y a des fleurs de ce côté-là du chemin et pas de l'autre ?

    Ainsi, depuis deux ans, j'ai de belles fleurs pour décorer ma maison.

    Sans toi, je ne vivrais pas dans toute cette beauté. »

     Le conte du pot fêlé

    Rappelez-vous : les fêlés sont des semeurs de beauté !


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  • Je dédie cette vidéo à nous tous, pour toutes les fois où nous croyons avoir raison, nous nous prenons au sérieux et nous oublions de regarder à l'intérieur de... notre sac….


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  • « Une ancienne légende taoïste chinoise raconte l'histoire d'un fermier qui vivait dans un pauvre village reculé. Les gens le trouvaient fortuné car il possédait un cheval qu'il utilisait pour les labours et le transport. Un jour, son cheval s'est enfui. Tous les voisins ont déploré le désastre que cela représentait, mais le fermier s'est contenté de dire : « peut-être ». 

    Quelques jours plus tard, le cheval est revenu, ramenant avec lui deux chevaux sauvages. Les voisins se sont réjouis de cette bonne fortune, et le fermier s'est encore contenté de dire : « peut-être ».

     Le lendemain, le fils du fermier a essayé de monter sur l'un des chevaux sauvages ; celui-ci l'a projeté au sol et lui a cassé la jambe. Les voisins ont tous exprimé leurs condoléances face à ce mauvais sort, mais le fermier s'est à nouveau contenté de dire : « peut-être ».

     La semaine suivante, des soldats sont venus enrôler de force les jeunes du village. Ils ont rejeté le fils du fermier à cause de sa jambe cassée. Quand les voisins lui ont dit quelle chance il avait, le fermier s'est contenté de dire: « peut-être ».

    La signification d’un événement dépend du « cadre » dans lequel nous le percevons. Lorsque nous changeons le cadre, nous changeons la signification. C’est une bonne chose d’avoir deux chevaux sauvages, ça l’est moins au vu du fils à la jambe cassée. La jambe cassée semble être une mauvaise chose dans le contexte d’un village paisible, mais elle devient positive dans le contexte de la conscription et de la guerre .

    C’est ce que l’on appelle le recadrage : changer le cadre dans lequel une personne perçoit des événements pour en changer la signification. Quand la signification change, les réactions et les comportements de la personne changent aussi. »

    [1] Extrait de R. Bandler et J. Grinder, "Le Recadrage" InterEditions, Paris, 1999.

    Quand on monte au niveau de l'âme, la vision des choses change complètement, un autre cadre nous est offert.

    Car en réalité, ce qui me fait souffrir est la perception que j'ai de ce que je considère être un problème, tous mes jugements et opinions.

    Quand je confie tout cela à mon âme et en même temps à ma divinité intérieure,  je lâche toute attente par rapport au résultat et je m'ouvre ainsi à recevoir une nouvelle vision, une vision beaucoup plus vaste à partir de mon être véritable qui est pur Amour.

    Ancienne légende taoïste: le vieux fermier et son cheval


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