• Ancienne légende taoïste: le vieux fermier et son cheval

    « Une ancienne légende taoïste chinoise raconte l'histoire d'un fermier qui vivait dans un pauvre village reculé. Les gens le trouvaient fortuné car il possédait un cheval qu'il utilisait pour les labours et le transport. Un jour, son cheval s'est enfui. Tous les voisins ont déploré le désastre que cela représentait, mais le fermier s'est contenté de dire : « peut-être ». 

    Quelques jours plus tard, le cheval est revenu, ramenant avec lui deux chevaux sauvages. Les voisins se sont réjouis de cette bonne fortune, et le fermier s'est encore contenté de dire : « peut-être ».

     Le lendemain, le fils du fermier a essayé de monter sur l'un des chevaux sauvages ; celui-ci l'a projeté au sol et lui a cassé la jambe. Les voisins ont tous exprimé leurs condoléances face à ce mauvais sort, mais le fermier s'est à nouveau contenté de dire : « peut-être ».

     La semaine suivante, des soldats sont venus enrôler de force les jeunes du village. Ils ont rejeté le fils du fermier à cause de sa jambe cassée. Quand les voisins lui ont dit quelle chance il avait, le fermier s'est contenté de dire: « peut-être ».

    La signification d’un événement dépend du « cadre » dans lequel nous le percevons. Lorsque nous changeons le cadre, nous changeons la signification. C’est une bonne chose d’avoir deux chevaux sauvages, ça l’est moins au vu du fils à la jambe cassée. La jambe cassée semble être une mauvaise chose dans le contexte d’un village paisible, mais elle devient positive dans le contexte de la conscription et de la guerre .

    C’est ce que l’on appelle le recadrage : changer le cadre dans lequel une personne perçoit des événements pour en changer la signification. Quand la signification change, les réactions et les comportements de la personne changent aussi. »

    [1] Extrait de R. Bandler et J. Grinder, "Le Recadrage" InterEditions, Paris, 1999.

    Quand on monte au niveau de l'âme, la vision des choses change complètement, un autre cadre nous est offert.

    Car en réalité, ce qui me fait souffrir est la perception que j'ai de ce que je considère être un problème, tous mes jugements et opinions.

    Quand je confie tout cela à mon âme et en même temps à ma divinité intérieure,  je lâche toute attente par rapport au résultat et je m'ouvre ainsi à recevoir une nouvelle vision, une vision beaucoup plus vaste à partir de mon être véritable qui est pur Amour.

    Ancienne légende taoïste: le vieux fermier et son cheval

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